Ettore Sordini a écrit:
Avec combien d’efforts Bruno Marcucci est arrivé à ce niveau de synthèse expressive il ne nous est permis de le savoir ; à partir de quel point de sa vaste et minutieuse recherche a jailli une clarté de vision si singulière, seul lui pourra nous le dire, si tant est qu’il le veuille.
Comme on dépaquetterait tout naturellement un bonbon et on jetterait ensuite le papier, Marcucci nous révèle ainsi le secret de la peinture, avec la clarté du mathématicien qui démontre un théorème, et nous donne la clé pour la compréhension de la peinture moderne ; l’art s’exprime à travers lui, à lui il se révèle et à nous nous ouvre une grande fenêtre sur le merveilleux.

Giuliana Paganucci a écrit:
[...] Des parties émergées des icebergs nous sommes invités à écouter ce qui se passe en bas. La ligne d'horizon haute pose le spectateur en correspondance de ce qui est submergé, de ce qui calmement se précipite dans les immenses régions de l'éloignement, de l’inconnu dans lequel se poursuivent concavité et convexité, dans une sédimentation ondulée de plis [...] 
 [...] À une hauteur de 2.03m se pose, justement, la ligne de l'horizon, frontière et limite de la vision et de la connaissance, ligne de frontière entre l'éloignement du passé et l'absolument inconnu du futur, dans l’aléatoire de notre manière d’être vivants [...]